Voici un truc que j'ai écrit en rentrant d'Italie, juste pour pas oublier les trucs marrants qu'on oublie forcément si on les écrit pas. Bon alors j'vous préviens, c'était pas écrit pour qu'on le lise mais finalement j'ai pas envie que vous oubliiez vous aussi :)
Euuuuh, c'est évidemment mon point de vue des choses, alors ya beaucoup de "Moi je ..." et de "Alex lui" :) ... 'fin vous comprenez quoi :) ! Bon accrochez vous c'est un peu long.
...........Sinon j’ai eu la chance de faire un super voyage, avec des gens très sympas, gentils, intelligents , enfin des gens biens quoi. On était 7 pour ce périple ; Alex, Greg et Liz, sa copine (elle me fascine), Adrien (chez le feu grand-père duquel nous avons logé), Cédric (alias Rocco) et Pierre Cuignier (le sosie de Tom Cruise).
Lundi 13 juin 2005 :
Nous sommes d’abord allés à Bulle, en Suisse, lundi 13 juin, partis de bon matin (5h45 quoi). On est passés par Reims, Chââââlons, Chaumont, Vesoul (DJ Vesoul en Foooorce) où on s’est arrêté au Macdo et où on a fait le premier Jungle Speed des vacances, Besançon, Pontarlier (où nous avons acheté de magnifiques pistolets à eau pour un euro ainsi que de la purée, et des Knackis) , la douane (évidemment avec nos tronches de cake on s’est fait arrêter) et enfin Lausanne, Bulle. Ouf. Connaissance avec Alexandre, le grand frère d’Adrien, charmant dans son genre, son appart, ses colocs, leurs chats, purée-knacki, de l’orage, pas de jardin pour monter la tente, du camping sauvage dans une forêt (avec une légère peur de se faire choper et pas assez de sardines), de la pluie, une nuit mémorable ! Rocco a du me trouver chiante …
Mardi 14 juin 2005 :
Au réveil, une Suissesse qui promenait son chien (prénommé Câline, ça lui allait comme un gant J : « Câliiiiiiine, retouuuuuuur ») . Après le repliage des tentes, un ptit dèj’ rapide chez le frère d’Adrien, une douche vite faite également, et nous reprenons la route…
D’abord de la montagne, le col du Grand Saint-Bernard (surnommé le col du Grand Chien de Berger par moi-même). On suit la Ford Escort de Pierre (TH59) dans les virages jusqu’ Aosta, où on s’arrête pour manger un Macdo (« oun’ doublo Cheese per favore ») puis Gênes (Genova) qu’Alex a trouvée très moche vu de l’autoroute, les autoroutes italiennes, tiens ! Parlons-en ! Ils conduisent comme des fous sans mettre de clignotants, nous en eûmes une illustration plus tard dans le voyage avec Ottorino. Première leçon d’italien pour Alex, je lui enseigne mes bases, Pisa pour continuer (déception de Cédric pasqu’on en a vu que le Leclerc et même pas la tour, que dalle), et enfin arrivée à Siena (Sienne) dans la nuit aux alentours de 23h … Mais nous avons du tourner encore un peu avant d’arriver à l’appart. Adrien agressait les italiennes pour leur demander le chemin, ce qui donna lieu à des imitations pendant le reste du séjour : SCUSA !
L’appartement de feu le grand-père d’Adrien était immense et confortable, 3 chambres, une salle à manger, une cuisine, une salle de bains, enfin bref, l’idéal pour nous. Les premières sensations ne furent pas sensass’ car on avait l’impression que le grand-père venait de quitter les lieux, c’était un peu glauque quoi, entre le gant de toilette dans le lavabo et les habits sur le lit ... Pas d’eau chaude voire pas d’eau du tout pour prendre une douche pourtant bien méritée. Tant pis… Enfin bref, on se fait un peu de place, on installe nos sacs de couchage et hop dodo ….. Orage pendant la nuit.
Mercredi 15 juin 2005 :
Le lendemain matin, douche froide, Adrien était parti régler ses affaires d’héritage. Puis courses, pasta alla carbonara gentiment préparées par Lise et Greg. Eau chaude enfin ! L’aprèm’ on se motive pour aller voir la fameuse Piazza del Compo, qui a effectivement de quoi être fameuse! Bataille de pistolets à eau, on se fait repérer. Pis on apprend par un carabiniero que “non è possibile giocare sulla piazza”. On se fait une glace (gelato fragola , pesca per me) qu’on déguste devant le Palazo et hop’ ! Ca roxxait terrible.
Après, excursion dans la ville, on se pose devant la cathédrale, on continue, et on arrive derrière un bâtiment, il y a des gens en train de poser des trétaux, on se demande ce qu’ils font, on nous dit qu’il y a un repas le soir-même, on ne comprendra jamais en quel honneur mais bon, c’est ainsi... On se promet de revenir le soir (Adrien, Cédric et Pierre pour chasser de la bonne gazelle).
Le soir resto sur la même place (qui fut décidément l’endroit où nous avons passé le plus de temps durant les 3 jours à Siena), pizza ai quattri formaggi per me.
On retourne à “l’endroit-où-il-y-a-un-repas-on-ne-sait-pas-pourquoi”, il y a effectivement des gens qui mangent, qui boivent, qui chantent, une fête en plein air quoi... Greg, Alex, Liz et moi, on commence à être fatigués, on s’asseoit à une table, et les autres, pas découragés, décident de partir en excursion. C’est le soir de leur première mission commando, ils piqueront des bouteilles en revêtant un tablier et en tchatchant le serveur (bravo Adrien pour ton italien). Fiers de leurs bétises, ils entreprennent de boire ce qu’ils ont piqué, on danse un peu sur le dancefloor (mais bon Beyoncé ça va bien 5 minutes hein). En fait de bonnes gazelles, il y a surtout des bons lovers italiens dont la chasse est bien gardée, et voilà que Pierre (qui a l’alcool agressif) se met à se friter en anglalien avec quelques uns de ces gars aux cheveux longs et luisants (avec les tee-shirts “DA PUTA MADRE”). Je crois que je me marrerai toujours en pensant à Pierre et à ses “nan mais you telled me that i can go, and THEN, i come and you talk to me ?”. Comme dirait les Valenciennois, ROFL, MDR-trop-LOL.
Jeudi 16 juin 2005:
Re-grasse mat’, re-glace, re-resto, re-piazza del Compo, re- l’endroit-où-il-y-a-un-repas-on-ne-sait-pas-pourquoi et rejournée sympa. On a joué au jungle speed sur cette place, et une touriste anglaise nous a pris en photo du haut de la tour du palazzo.
Ah, j’allais oublier une de nos rencontres marquantes à Sienne ! Lorsque nous sommes allés nous ballader l’après-midi, on avait emmené les deux guitares et l’espèce de piano à vent d’Adrien, avec la ferme intention de se la péter comme des artistes. Mais en arrivant sur la place, on s’est dit que comme on s’était déjà fait virés la veille, c’était ptète pas une bonne idée de réitérer en sortant le matos. De plus, on a vu un ptit violoniste qui pensait régaler nos oreilles avec des airs connus et qui lui s’est fait virer. Bon, on a donc continué un peu dans les rues, jusqu’à ce qu’on se trouve un ptit coin tranquille à côté d’une église ou abbaye ou je sais pas quoi, en tous cas, y’avait des éclésiastiques autour. On s’est installés sur la pelouse et en avant ! Au bout d’un quart d’heure, on voit débarquer le ptit violoniste de la Piazza del Compo, on était morts de rire. Il s’asseoit à côté de nous, se présente, “Attila”, tente de s’accorder avec la guitare d’Adrien et commence à improviser ... C’était assez rigolo, il devait pas avoir un niveau d’enfer le pauvre, mais bon, c’était marrant.
Vendredi 17 juin 2005:
Réveil cool, gros ptit dèj’, où on a mangé tout et n’importe quoi, repliage des sacs de couchage. En effet, l’après-midi, on part à Vazzola, un ptit village à côté de Conegliano, chez des amis des parents d’Adrien, qu’ils ont connu en camping. Enfin bref, tout ça se situe dans les environs de Trévise, et aussi de Venise... On part de bonne humeur, un peu les boules de reprendre la voiture, et on retrouve vite fait les autoroutes italiennes mais mes deux pilotes de Yaris (Rocco et Alex) ainsi que les deux pilotes de la TH59 ont pris la main, et ils roxxent. Sur la route on mange une méga pastèque (à 20,50 euros, je proteste un peu, et j’engueule Adrien, qui doit me prendre pour le grognon de service). On met quand même un bout de temps à arriver à Conegliano, entre temps, on s’est perdu de vue pour la première fois, on s’attend sur d’improbables routes ou parking, et j’ai même failli péter un plomb. Ouf, le dénommé Ottorino vient nous chercher à la gare de péage. “Ciao, ciao, mangiare, mangiare, ça va couci-couça”, visiblement il a faim le bétail. On tente de suivre sa Mini une première fois mais on le perd de vue car il roule à 130 dans les villages et me conforte donc dans l’idée que mes préjugés sur l’Italie sont pas que des idées reçues. Il retourne donc nous chercher à la gare de péage, un peu vénère le gars, mais bon, cette fois, c’est Pierre et Adrien qui passent devant, et on tente de suivre le rythme d’enfer, on coupe les lignes blanches, RAF !
Ouf, on est arrivés. Grazia nous accueille, nous présente ses chiens (Camilla le minuscule truc sur pattes, Blacky (qui donnera lieu à une expression tellement il est shouté. Attention déception, Blacky “è una femina”, et un troisième chien dont je me rappelle plus le nom). Il y a aussi Barbara, leur grande fille aveugle, qui se repère pas trop mal mais manque tout de même d’assurance. On mange, méga-heureux de s’empiffrer de melons, pastèques, coca, aaaaarf un vrai régal on en pouvait plus... Grazia nous montre les chambres (j’étais censée dormir avec Eliz, ce qui donnera lieu à de nouvelles opérations commandos pendant la nuit), la salle de bain, tout est super, on est crevés MAIS .... On sort ce soir. Rebecca , la piccola Rebecca (14 ans mais une italienne, une vraie, ses lunettes Dior, son bronzage tellement parfait qu’elle aurait pu être engagée pour faire “Opération Séduction aux Caraïbes”) et sa cousine (donc la nièce d’Ottorino et de Grazia (parfait, tout le monde suit)) Paloma nous sortent. Paloma est avec un gars, Francesco, tout le monde croit que c’est son copain, mais j’apprendrai le lendemain qu’il est juste “a special friend”. On va dans un bar à Conegliano, plutôt sympathique, on commande un demi-pêche, le truc classique quoi mais ici ils connaissent pas, ce sera bière tout court (la birra), un diabolo menthe pour Adrien, un Martini bianco pour Elize, pis un autre truc que Francesco nous paye et qu’Alex semble apprécier.
Retour, dodoooooooo. Le réveil de Barbara se met à parler la nuit “il est 7h10” en italien. Raaaah va te faire ****** fucking réveil.
Samedi 18 juin 2005:
On avait décidé de pas se lever trop tard pour en profiter un max, ce sera 9h je crois, avec un réveil programmé pour éviter que Grazia me trouve avec Alex et trouve Liz et Greg (visiblement ça aurait fait désordre). On s’habille, on déjeune, et Grazia nous emmène voir la mama di Paloma dans son magasin, un genre de mercerie où on vend aussi de la lingerie, puis visiter la “fabrica di Ottorino”, à Conegliano. C’était très impressionnant, Ottorino fabrique des mannequins pour les vitrines (maintenant je pense à lui à chaque fois que j’en vois). Visiblement il a un sacré monopôle, il possède aussi une usine à Shangaï, enfin bref, j’me fais pas de souci pour sa retraite.
Après ça, Grazia nous conduit à la gare de Conegliano. En effet, nous allons nous rendre à Venise (Venezzia) en train. Alex et moi on achète les billets “andate/ritorno” pour 6.80E chacun, et hop, nous voilà partis. Je discute avec Elize dans le train, Alex prend sa deuxième leçon d’italien auprès d’Adrien qui lui enseigne les conjugaisons. Et puis l’arrivée sur ce bout de terre relié au continent juste par un minuscule passage. Pas de voitures à Venise. Les canaux, de vraies cartes postales, on s’émerveille à chaque nouvelle rue, on s’embrasse de partout, sur chaque pont (eh eh quel prétexte), on y est, on y est pour de vrai. On joue avec nos pistolets (oui ils nous ont suivis jusque là) à chaque place où il y a généralement une fontaine. On marche, on marche. On finit par avoir vraiment faim, et on s’arrête dans un restaurant, ma foi fameux. Salade et pizza pour Alex et moi. Greg avait visiblement pas très faim et il prend rien à boire, ça me donne soif pour lui. Après manger, on reprend notre balade vers la place St Marc, on déambule dans les minuscules rues, et plus on se rapproche de la place, plus les commerçants en tous genre sont nombreux, Alex trouve que c’est un peu trop. Moi, j’me dis que c’est normal. On arrive enfin. Ce qui me frappe, c’est le nombre de pigeons, je savais pas qu’il y en avait autant ! Ca grouille de partout, ça me fait marrer, ça fait flipper aussi J... Ya des vendeurs de graines partout. Nous on court après les pigeons, et Greg , Pierre et Cédric chasse les pigeons dominants, ceux qui donnent des coups de becs aux plus faibles. Un vrai sens de la justice ces gars-là. C’est déjà presque l’heure de repartir, on voudrait pas arriver en retard après la scène que nous a fait Ottorino hier soir, l’heure du repas semble sacrée...On refait notre petit trajet en sens inverse, et je mange un verre avec des ananas, et des kiwis. Hummmm !A 18h on est donc repartis, on arrive à Conegliano, on récupère les voitures et hop’ retour à Vazzola. C’est l’heure du repas, on se fait bien plaisir encore une fois. Beaucoup de fruits et légumes style melon et pastèque. Après, on aimerait bien aller en boîte mais on se renseigne sur le prix auprès d’Ottorino et Rebecca (qui semble avoir l’habitude) et les discothèques semblent coûter à peu près 15E. C’est trop cher pour nos bourses d’étudiants, du moins la mienne, j’ai l’impression de faire un peu chier le monde.
C’est pas grave, Paloma et Francesco nous emmènent dans un bar où il y a un concert de hard rock. Je suis crevée et un peu malade, mais Paloma me donne un aspirine et je passe la soirée à discuter avec elle en anglais, sans trop de complexes J. Sympa la Paloma. Elle m’apprend qu’elle part prochainement en Chine, pour ses études, une sorte de L.E.A. pour elle aussi. On rentre enfin, je suis crevée, dodo !(cette expression a bien fait rire les Italiens J). Adrien, Cédric et Pierre passent un p’tit moment à discuter avec les italiens, ils ont l’air d’avoir passé un moment sympa.
Dimanche 19 juin 2005:
C’est notre dernier jour en Italie, on aimerait bien en profiter mais on est crevés ! Grasse mat’ jusqu’à midi, puis on mange et après, Ottorino nous emmène dans leur maison de montagne, avec Rebecca. On le suit sur l’autoroute, il roule vite mais on commence à avoir l’habitude. Rocco a l’air de badder un peu. La maison de la montagne, elle roxxe. Ottorino et Rebecca arrosent les fleurs, puis on suit Otto pour une promenade sympathique dans la montagne. Les garçons cueillent des fleurs oranges superbes mais pas très autorisées, et Ottorino leur fait des remontrances J (phrase pourrite mais il est tard). De retour au village, on va dans un bar où on nous paye une glace (Ottorino nous dit de nous servir, j’aimerais bien savoir quel statut il a dans ce village...).
Et puis back à Vazzola, pour notre dernière soirée, on mange des pâtes et des pizettas, on retrouve Grazia qui avait passé la journée à accompagner Barbara à une fête. Francesco et Paloma nous retrouvent pour la dernière soirée, mais ce soir on sort pas, et on mange des glaces à la maison, suivie d’une partie de “jungolo presto” ma foi bien conviviale avec Francesco, Paloma et la piccola Rebecca. Dodo pas trop tard car le lendemain, eh oui, c’est déjà le départ. Ca sent la fin ...
Lundi 20 juin 2005:
C’est le chemin inverse, ou presque on se tape toute la largeur de l’Italie, puis Torino, Aosta, le col du grand Chien de Berger dans l’autre sens, et revoilà la Suisse. Pause dans la soirée à Montreux, où certains d’entre nous voulaient voir la statue de Freddie Mercury. On s’arrête donc, on admire la statue du chanteur de Queen, et puis finalement, les gars décident d’aller faire un tour dans le Lac Léman. On questionne les gens, visiblement, ça n’a pas l’air interdit, ils vont chercher leurs maillots de bain, et hop’, Pierre dans l’eau, suivi par Elise, Greg, Cédric et Alex. Adrien reste dehors pour prendre des photos, et moi aussi car je suis un peu malade. Elle a l’air froide mais ils sont contents. Repas dans une brasserie (chère, trop chère >_<) et route pour retrouver Bulle, en écoutant une émission pourrie à la radio (pour info, la radio locale est COULEUR 3). Ce n’est pas retrouver Bulle qui est le plus dur mais retrouver l’appart’ d’Alexandre, le frère d’Adrien. Finalement il nous rejoint sur la place du village et nous emmène ... droit à la forêt. Je fais la gueule, c’est pas possible, je voulais prendre une douche ! Tant pis. On monte les tentes, il est minuit. Dodo.
Mardi 21 juin 2005:
Repliage des tentes dans la bonne humeur. On retrouve Adrien qui n’a pas daigné vouloir nous accompagner dans notre aventure “camping dans la forêt suisse”, ni à l’aller, ni au retour. Quel dommage de ne pas avoir voulu participer à cette grande aventure... Un passage aux toilettes (Greg poursuit la B.D. qu’il a commencé à l’aller) et nous sommes repartis. Un dernier regard sur les chalets suisses, et puis c’est la frontière. Je ne vois rien car je dors à l’arrière, affalée sur l’oreiller. On s’arrête dans une superette et on en profite pour acheter de quoi faire un vrai petit déjeuner requinquant, qu’on mangera 3 km plus tard au bord de la route sur des troncs d’arbres. On achète aussi de quoi faire des sandwichs pour le midi. Vers midi, justement, on s’arrête à hauteur de Dijon sur une aire d’autoroute qu’on aura le temps d’apprécier car la voiture de Pierre (oui oui TH59) tombe en panne. On appelle un routier espagnol à la rescousse pour arrêter la voiture, mais pour redémarrer et accélerer, il y a un problème. Pierre appelle sa maman, puis un dépanneur. Nous voilà coincés 3h sur cette aire. Alex et moi en profitons pour prendre une douche. Ca fait du bien... Le dépanneur répare vite fait la voiture de Pierre et nous voilà repartis. Greg et Cédric sont un peu moins enthousiastes, car après un coup de fil à Christophe sur l’aire d’autoroute, ils ont appris qu’ils se tapaient le rattrapage. Même pas le temps de se remettre du voyage que les voilà obligés de se replonger dans les révisions ... Allez les gars...
Arrivée Valenciennes ou plutôt Famars dans la soirée. Séparations, euuuuuh, on sait pas trop quoi se dire. C’est bizarre d’avoir partagé autant avec des gens et de devoir tout quitter d’un seul coup. Bon bah à plus, les gars...
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